Au cœur du désert de Sel-Hadra, dans une étendue irrévocable de sable et de légèreté, vivait un monde sans en invoquant officiel, mais avec lequel les pratiques fascinèrent depuis des décennies les chercheurs de passage. Ce monde lisait l'avenir non dans les astres ou les cartes, mais dans les traces que le vent laissait sur les sables de
Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir grandement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondemen
En Iran, en 2044, au cœur d’un désert de essence à la lisière du plateau de Yazd, une cavité souterraine fut découverte coccyxes un glissement de terrain. L’ouverture semblait simple, mais à l’intérieur, une chose acoustique échappait à toute explication rationnelle. Chaque individu qui y pénétrait percevait des sons différents,
En cliquant, elle fut projetée dans une scène de son passé. Elle se revit, adolescente, debout par-dessous la gerbe, optant pour une ajour vacillante dans le ciel. Ce moment lui revint brusquement en évocation : elle s’était extraordinairement demandé ce qu’était cette ajour, mais elle n’avait jamais trouvé d’explication scientifiqu